Nicolas Raskin : entre Glasgow, les Diables Rouges et un retour au Standard ?

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Un Liégeois à Glasgow, le cœur toujours à Sclessin

Parti en 2023 en froid avec la direction du Standard, Nicolas Raskin a su rebondir avec panache du côté des Glasgow Rangers. Aujourd’hui, à 23 ans, le médian formé à l’Académie Robert Louis-Dreyfus rêve toujours en rouge… mais pas seulement ceux des Rangers.

« Je me rappelle de chaque match que j’ai joué là-bas »

Lors d’une série d’interviews accordées à Walfoot, Le Soir et la RTBF, Raskin n’a pas caché son amour intact pour le Standard. « Je me souviens de mon premier but contre Charleroi, de mon but contre Anderlecht avec toute ma famille dans les tribunes… Le Standard restera quoi qu’il arrive mon club de cœur », a-t-il confié.

Malgré plusieurs offres de clubs belges au moment de son départ, il avait fait un choix clair : « J’avais envie de revenir au Standard, pas ailleurs ».

Un possible retour en Belgique ?

La situation du club liégeois reste floue, ce que Raskin ne cache pas. « La Belgique a besoin du Standard. Il faut que les choses bougent pour le club, car on ne peut pas se permettre de perdre l’un des plus beaux clubs de Belgique ».

Une déclaration qui fera chaud au cœur des supporters, d’autant qu’il ajoute : « C’est un club où j’ai envie de revenir ».

Glasgow, la folie du foot version écossaise

Installé à Glasgow, Raskin baigne dans une ambiance électrique, surtout lors des fameux Old Firm entre les Rangers et le Celtic. Il raconte avec passion : « Je retrouve ici ce que j’avais au Standard. Avant un Old Firm, tu sens la ville vibrer ».

Et il a même marqué dans ce derby mythique. « Le ballon vient parfaitement, je saute au premier poteau et je la mets dedans. Quand tu es chez l’ennemi, c’est encore mieux car tu entends juste tes supporters. Ce sont des souvenirs à vie ».

Cap sur la Coupe du Monde 2026

Son ambition ? Porter les couleurs des Diables Rouges au Mondial. « C’est mon objectif, c’était mon rêve de gosse », confie-t-il.

Avec une saison pleine aux Rangers et la confiance de Rudi Garcia, le rêve est à portée de main. Selon plusieurs observateurs, Raskin a marqué des points importants auprès du sélectionneur national.

« Le Standard, c’est mon club de cœur. La Coupe du Monde, c’est mon rêve de gosse. »

Conclusion : un avenir en rouge ?

Entre la ferveur de Glasgow, l’appel du Standard et l’horizon des Diables Rouges, Raskin incarne la passion et l’ambition du foot belge. Un joueur à suivre de très près.

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