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Phase de groupes : démonstration offensive
Belgique – Panama (3-0)
18 juin à Sotchi. Mertens ouvre le score d’une magnifique volée, suivi d’un doublé de Lukaku. Entrée en matière parfaite.
Belgique – Tunisie (5-2)
23 juin à Moscou. Doublés de Hazard et Lukaku, but de Batshuayi. Festival offensif. La Belgique s’emballe.
Angleterre – Belgique (0-1)
28 juin à Kaliningrad. Januzaj marque un superbe but. Les Diables terminent premiers du groupe G.
Huitième de finale : le miracle japonais
Belgique – Japon (3-2)
2 juillet à Rostov. Menée 0-2, la Belgique revient grâce à Vertonghen et Fellaini. Chadli conclut un contre légendaire à la 94e. Explosion de joie nationale.
Probablement le match le plus stressant de ce Mondial pour les supporters belges.
Complètement abattus après être mené 2 – 0 nos Diables ont fait preuve d’un caractère exceptionnel.
Quart de finale : l’exploit face au Brésil
Brésil – Belgique (1-2)
6 juillet à Kazan. Fernandinho contre son camp, puis De Bruyne frappe fort. Courtois est impérial. La Belgique écarte le Brésil. Euphorie totale.
Demi-finale : le rêve brisé par la France
France – Belgique (1-0)
10 juillet à Saint-Pétersbourg. Umtiti marque de la tête. Les Diables dominent mais ne trouvent pas la faille. Grosse déception, mais immense fierté.
Petite finale : une revanche pour le bronze
Belgique – Angleterre (2-0)
14 juillet. Meunier et Hazard assurent la victoire. Les Diables finissent troisièmes, meilleur résultat de leur histoire en Coupe du Monde.
Thibaut Courtois est désigné meilleur gardien du Mondial.
Eden Hazard est ballon d’argent.
Le ressenti en Belgique : une fierté nationale
De la joie, de l’émotion, de l’unité : la Belgique a vibré avec ses Diables. Fan zones noires de monde, klaxons dans les rues, drapeaux aux balcons… Ce Mondial 2018 reste une fierté collective. Le pays a rêvé, et la génération dorée a conquis les cœurs.